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  • Arsène Lupin - L'aiguille creuse

    L’Aiguille creuse

     

    L'aiguille creuse est le deuxième secret de la reine Marie-Antoinette et de Cagliostro (fortune des rois de France). Le Mystère de l'Aiguille creuse renferme un secret que les rois de France se transmettaient et dont Arsène Lupin s'est rendu maître. La fameuse aiguille contient le plus fabuleux trésor jamais imaginé, il rassemble les dots des reines, perles, rubis, saphirs et diamants... la fortune des rois de France. - C'est Jean Daval qui m'a réveillé. Je dormais mal d'ailleurs, avec des éclairs de lucidité où j'avais l'impression d'entendre des pas, quand tout à coup, en ouvrant les yeux, je l'aperçus au pied de mon lit, sa bougie à la main, et tout habillé comme il l'est actuellement, car il travaillait souvent très tard dans la nuit. Il semblait fort agité, et il me dit à voix basse : « Il y a des gens dans le salon. » En effet, je perçus du bruit. Je me levai et j'entrebâillai doucement la porte de ce boudoir. Au même instant, cette autre porte qui donne sur le grand salon était poussée, et un homme apparaissait qui bondit sur moi et m'étourdit d'un coup de poing à la tempe. Je vous raconte cela sans aucun détail, monsieur le juge d'instruction, pour cette raison que je ne me souviens que des faits principaux et que ces faits se sont passés avec une extraordinaire rapidité.

  • ESS - Ils entreprennent autrement

    Ce livret est une présentation de 14 portraits d’entreprises qui ont fait le choix d’un autre mode d’entreprendre, tel que le définit l’économie sociale et solidaire. 
    Utilité sociale et innovation sociale, ancrage territorial, organisation démocratique et collective, lucrativité limitée, telles sont les caractéristiques communes de
    ces initiatives économiques, porteuses également de création d’emplois.
    Ces projets se concrétisent dans tous les domaines de l’activité humaine, comme l’affirme la loi ESS de juillet 2014 : numérique, culture, solidarité, insertion
    par l’activité économique, services à la personnes, formation… Les thématiques ne manquent pas pour mettre en oeuvre une économie porteuse de sens.
    A travers son plan métropolitain de développement de l’ESS sur 2015-2020, la MEL poursuit son engagement en tant que chef de file de l’ESS sur son territoire.
    Ce plan se traduit par exemple à travers l’appel à projets « Entreprendre autrement avec la MEL » dont les 14 lauréats de l’année 2015 sont valorisés dans ce recueil
    de projets qui illustre la diversité et la richesse de l’économie sociale et solidaire. 
    Cet appel à projets, dont le comité de sélection est multi partenarial, associant ainsi institutions publiques, collectivités locales, réseaux et experts de l’ESS et de
    son financement, et fondations, permet de repérer et d’analyser les projets qui inventent une autre économie sur notre territoire, en leur permettant d’accéder à
    un « coup de pouce » au démarrage, ou en facilitant leur développement sur des projets nouveaux. Enfin l’ambition de cet appel à projets est de favoriser la
    coopération et la mutualisation entre les acteurs de l’ESS, leur permettant de « changer d’échelle ».
    Je souhaite que ce recueil vous amène à découvrir ces initiatives, souvent méconnues, et pourtant véritable viviers d’idées porteuses d’innovation sociale.
  • Fête de la science : 25 découvertes pour les 25 ans de la fête de la science

    Partager les sciences avec la société constitue l’une des priorités du secrétariat d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, car la science est d’une importance capitale pour notre pays et pour ses citoyens. Pour notre pays, car elle contribue à sa notoriété dans le monde : notre recherche se place au sixième rang mondial avec des résultats de premier rang en mathématiques, en biologie, en physique, en médecine. Pour ses citoyens, car toutes les sciences, y compris les sciences humaines et sociales, permettent de comprendre un monde complexe et difficile à cerner. Aujourd’hui bien informés grâce à leur bon niveau d’éducation et l’utilisation massive des technologies numériques, nos concitoyens sont friands des découvertes scientifiques. Ils peuvent aussi trouver dans la science des méthodes d’analyse et de réflexion pour aborder les problèmes de notre temps avec recul et raisonnement plutôt que d’être soumis à la pression du prêt-à-penser. Que chacun dispose d’une culture scientifique suffisante et des phénomènes obscurs s’éclairent, des événements s’expliquent, des interrogations trouvent leurs réponses : le monde devient plus lisible et les possibilités d’agir s’ouvrent. Encore faut-il que les scientifiques partagent leurs connaissances dans un langage accessible. C’est ce qu’ils font, aidés des médiateurs et des journalistes scientifiques, chaque année, au début d’octobre, dans presque chaque ville ou village de France, à l’occasion de la Fête de la science, lancée par le ministre Hubert Curien il y a tout juste 25 ans. C’est pour célébrer ces 25 ans que le ministère en charge de la Recherche et les éditeurs du groupe Sciences pour tous vous offrent ce petit livre. Vous y trouverez 25 découvertes qui ont jalonné les 25 dernières années et qui contribuent à changer notre vie quotidienne. Je vous invite donc à le lire. Et, pour vous étonner, vous trouverez un lecteur d’hologrammes en dernière page. Bonne lecture et belles découvertes

    Thierry Mandon Secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche
  • Ile de paques expédition de 1983

    RAPA NUI
    L'lle de Pâques ou Rapa Nui se situe dans I'Océan Pacifique (27"09 S - 109"26 W) à 3790 km de Santiago ciu Chili et à 4050 km de Tahiti (figl). plle correspond au sommer EST du "Triangle Polynésien" délimité à I'OUEST par la Nouvelle Zélande et au NORD par Hawaii. C'est une île entièrement volcanique (superficie 165 knî) et peu élevée (point culminant 507 m). Elle épouse la forme d'un triangle dont la base, longue drenvirgn 24 km s'oriente du NORD-OUEST au SUD-EST et à chaque sommet duquel culmine un grand éOitice volcanique. Au NORD-OUEST, le plus grand et le plus complexe, le TEREVAKA (SOl m), est pourvu d'un nombre inrportant de cônes parasites. Au SUD-OUEST, le RANo KAU O24 rn), est caractérisé par une caldéra d'effondrement. A I'EST, le PUAKATIKI (370 m), est à l'origine de la presqu'île de Polké.
  • Le grand oeuvre alchimique

    Le grand-oeuvre alchimique : brochure de propagande de la Société alchimique / F. Jollivet-Castelot,... Date de l'édition originale : 1901 Sujet de l'ouvrage : Alchimie Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF. Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica,

    sa bibliothèque numérique. En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles. Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.

  • Le Roman du Renard

    Pentecôte, l’aimable fête, était venue ; les champs et les bois étaient verts et fleuris ; sur les hauteurs et les collines, dans les bosquets et les buissons, les oiseaux, nouvellement éveillés, gazouillaient leurs joyeuses chansons ; chaque prairie se jonchait de fleurs dans les vallons embaumés ; le ciel serein, la terre diaprée, brillaient avec un air de fête.

  • Les voyages de gulliver

    Les quatre voyages de Gulliver

    Cette œuvre, écrite à la première personne, est divisée en quatre parties.

    Voyage à Lilliput

    Jean-Georges VibertGulliver et les Lilliputiens, vers 1870

    Où l’on voit Lemuel Gulliver, chirurgien de marine, naviguer vers Bristol. Après un naufrage, il se retrouve sur l’île de Lilliput, dont les habitants, les Lilliputiens, ne mesurent qu'environ six pouces de haut (env. 15 cm). Par plusieurs aspects, la société lilliputienne semble bien plus avancée que l'Angleterre de l'époque, bien que les peuples passent leur temps à faire la guerre. Après bien des aventures, Gulliver découvre l'origine de la guerre entre Lilliput et Blefuscu qui est l'île voisine : un roi a voulu imposer le côté par lequel devaient être cassés les œufs à la coque ; d'où le nom des partisans de chaque doctrine, les Gros-boutiens et les Petits-boutiens. À la fin du récit, Gulliver doit fuir Lilliput pour Blefuscu : en effet, en ayant refusé d'asservir les Blefusciens vaincus et surtout à la suite d'un complot fomenté par le Grand Amiral et certains ministres lilliputiens, il perd les grâces de l'Empereur. S'il restait, il se risquerait à une sentence d'arrachement de ses yeux, l'Empereur ayant atténué la peine prévue par les ministres : la mort. Il parvient finalement à retrouver un navire au large pour retourner en Angleterre.

    Voyage à Brobdingnag

    (Durant tout le voyage, il est écrit Brobdingnag, mais dans la lettre à son cousin Simpson qui clôture le livre, Gulliver précise que l'orthographe exacte est Brobdingrag.) Gulliver entreprend un deuxième voyage et se retrouve à Brobdingnag, que l'auteur situe dans l'océan Pacifique entre le Japon et l'Amérique. Il se retrouve alors dans la situation inverse de Lilliput : tous les Brobdingnagiens sont des géants. L'un d'entre eux s'empare de Gulliver pour l'emmener dans sa ferme, où une petite fille, qu'il surnomme Glumdalclitch, s'occupe de lui. Il est par la suite acheté par la cour royale de Brobdingnag et y réside avec sa nourrice Glumdalclitch. Du fait de sa petite taille, le héros devient un objet de curiosité pour le roi, la reine et la cour, et devient notamment favori de la reine. Il explique au roi le système politique existant en Angleterre. Le souverain critique vivement les institutions anglaises. Mais à la suite d'un manque d'attention de la part d'un courtisan qui l'emmenait en balade près d'une falaise, Gulliver se retrouve emporté depuis sa chambre artificielle par un aigle, puis est repêché par des marins, qui le ramènent en Angleterre, où il a l'impression durant quelque temps de voir la population plus petite que lui.

    Voyages à Laputa, à Balnibarbi, à Glubbdubdrib, à Luggnagg et au Japon

    Laputa est une île volante, flottant au-dessus du pays de Balnibarbi grâce à un complexe système reposant sur une pierre magnétique. Elle renferme la noblesse de plus haut rang qui s'en sert comme d'une arme pour menacer leurs sujets dans le cas où ils refuseraient de payer leurs impôts, ainsi l'île se déplace de ville en ville à travers le pays. Elle dispose de plusieurs moyens de persuasion, soit elle peut ordonner que l'on jette des pierres sur les maisons plus bas, soit elle peut assiéger une ville, jusqu'à ce que les habitants meurent de faim, mais le plan final du monarque en cas d'urgence est de tout simplement laisser tomber l'île sur la tête des villageois, étant constituée d'une surface de cristal géante qui protège les fonctions essentielles de la machinerie. Les habitants de l'île sont très particuliers, étant constamment plongés dans des réflexions, ils perdent toute perception de ce qui les entoure, ainsi quand l'on désire leur parler, il faut que les sonneurs à leur service appelés « climenoles » fassent retentir leur instrument, pour les faire revenir à eux, et ce, de très nombreuses fois par jour. Obsédés par l'astronomie, les mathématiques et la physique, ils passent des journées entières à penser et repenser les choses, émettre des conjectures et faire des calculs incessants.

    Lassé du peu d'intérêt qu'ils lui portent, Gulliver décide de mettre pied à terre et rencontrer les habitants de Balnibarbi, ainsi il découvre que là dessous, les fonds ne servent qu'à alimenter les recherches de la science, ce qui génère une grande pauvreté du peuple. Il découvre l'académie de Lagado (en) où, abusant de la science spéculative, les hommes perdent tout sens commun, exposant et appliquant les théories les plus folles avec par exemple, un scientifique qui espérait recréer de la nourriture à partir de matière fécale ou encore un autre, tentant de piéger les rayons du soleil dans des concombres. Un chercheur lui présente également une machine à générer des écrits aléatoirement, qui préfigure l'ordinateur moderne. C’est une critique de la Science qui est là divinisée et mise au-dessus de la raison.

    Luggnagg est un pays où Gulliver découvrira l'existence d'êtres immortels appelés « Struldbruggs », tout d'abord pris d'enthousiasme à l'idée d'un tel phénomène, il découvrira par la suite que malheureusement, malgré le fait que ces personnes ne puissent mourir, elles n'en gardent pas pour autant une jeunesse éternelle. De ce fait, ces immortels vieillissent, rongés par les maladies, oubliant tous les êtres de leur famille ils deviennent malfaisants et très faibles, irascibles et haïs de tous, ils prennent petit à petit une forme spectrale au fil du temps, peinés de voir les autres mourir et pas eux. Le gouverneur de cette île a, en outre, le pouvoir de nécromancien d'évoquer les esprits des morts pour une journée sous forme de fantômes. C'est ainsi que Gulliver a l'occasion de converser avec de grandes figures du passé telles qu'Alexandre le Grand ou Hannibal le Carthaginois.

    Glubbdubdrib est une île où résident des sorciers. Là-bas, Gulliver, grâce aux talents de nécromancien du gouverneur, va pouvoir échanger avec des personnalités historiques de tous âges qui lui révéleront des vérités cachées sur l'histoire des hommes à propos de points déterminants de celle-ci, philosophes, héros de guerre, grandes figures politiques, Gulliver les rencontre tous et se rend compte que l'histoire qu'il connaît, est bâtie sur de nombreux mensonges et erreurs.

    Voyage au pays de Houyhnhnms

    Pays peuplé par les Houyhnhnms, des chevaux beaux et intelligents arrivés au sommet de la raison et de la sagesse, qui sont les maîtres des Yahoos, animaux d’aspect répugnant au comportement misérable, qui se révèlent, au grand désespoir de Gulliver, être des humains. Swift pose ici une question de réflexion : quelle est la différence entre un être humain et un animal ? Cette différence est-elle réelle ou est-elle simplement apparente ? Doit-on avoir honte d’être humain ?